Nous célébrons ensemble notre 240e anniversaire – et cela malgré une pandémie mondiale !
Un employé me le dit :
« A l’automne 2019, je suis allé voir notre importateur Polymya en Biélorussie. S’y trouvait, un Solitair 12/1200 entièrement équipé, tracté par un Fendt 936 aussi entièrement équipé, munis de pneus jumelés et en peinture spéciale noire »
Un rêve coûteux pour de nombreux agriculteurs européens, dans l’un des pays les plus pauvres et les plus isolés d’Europe. Quel contraste !
À l’automne 2018, trois collègues allemands se trouvaient aux États-Unis.
Ils discutaient d’un sujet sur le Compact Solitair et l’ambiance était très américaine : un tracteur Case IH Magnum typique était attelé devant le Compact Solitair.
Une camionnette Ford a été utilisée comme voiture de service à la clientèle.
La zone à semer se trouvait sur la réserve des Indiens Shoshone Bannock.
Et un troupeau de bovins est passé dans la région, guidé par des cow-boys bien sûr !
À l’automne 2017, un collègue allemand, un anglais et un écossais ont rendu visite à un client en mer du Nord écossaise.
Là, ils ont labouré et semé du blé avec vue sur la mer du Nord.
Lorsque la charrue a été réglée, il y a eu des discussions entre le client et notre collègue écossais. À part le fort dialecte écossais et les grossièretés anglaises, l’Allemand ne comprenait rien.
Plus tard dans la voiture, le collègue anglais a dit à notre collègue allemand : « Ne vous inquiétez pas, je n’ai rien compris non plus !«
En été 2015, deux de nos collègues étaient chez un client. Là, un LEMKEN Solitair 9 KA a été utilisé pour les premiers semis de luzerne sur un sol dit vierge.
Une mine à ciel ouvert fraîchement remblayée est considérée comme un territoire inexploré. Sur le chemin, nous avons traversé la mine à ciel ouvert avec l’ancienne camionnette du service clientèle.
Note du directeur : « Conduisez toujours directement derrière moi et si je conduis plus vite, c’est seulement pour que nous puissions prendre de l’élan et que vous ne restiez pas bloqué! «
Une application passionnante pour semer!
Après avoir emménagé dans le nouveau bâtiment administratif, tous les collaborateurs de l’usine ont dû se rendre au service du personnel avec leurs chaussures de travail et ont voulu mettre des grandes pantoufles, comme il est d’usage dans certains musées. Cela devait éviter que les copeaux métalliques ne pénètrent dans les sols en moquette et en bois et ne les abîment.
Un collaborateur du service informatique a sauté sur l’occasion pour se permettre un formidable poisson d’avril. Les salles de réunion et les voitures de fonction sont gérées avec Lotus Notes (programme d’e-mail). C’est ainsi qu’il eu l’idée de faire réserver les pantoufles et il a rédigé un communiqué concernant la mise en place imminente ainsi qu’une explication correspondante, car il ne fallait pas risquer de pénurie de pantoufles. Chaque supérieur devait maintenant réserver une paire de pantoufles pour ses collaborateurs lorsqu’ils souhaitaient se rendre au service du personnel. Cet e-mail a été envoyé à « tous Lemken Alpen ».
Certains s’en sont fortement étonnés, mais ont trouvé la chose plausible et y ont cru. D’autres cependant ont flairé le coup fourré. Une personne cependant y a cru, et s’est ensuite mise dans une colère terrible : l’ancien directeur d’usine. Il voulait appeler immédiatement le chef pour se plaindre, mais a eu le Controlling au bout du fil. Une conversation agitée s’est alors ensuivie, et on a fini par lui demander la date du jour. La réponse est arrivée rapide comme une flèche « 1er avril », suivie d’un silence, puis le déclic, et tous en ont ri de bon cœur.
Merci à l’un de nos collaborateurs de nous avoir envoyé cette anecdote !
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